| | Laelia ❧ Parfois le destin en décide autrement. (délai) | |
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Laelia Ironhand
✧ Date d'inscription : 07/11/2016 ✧ Messages : 32
| Sujet: Laelia ❧ Parfois le destin en décide autrement. (délai) Lun 7 Nov - 18:23 | |
| I. Introduction NOM : Ironhand, mais au final il ne veut pas dire grand chose. PRÉNOM : Laelia, il se devait de lui trouver un nom, Petite ça va un temps, mais pas pour toujours. NAISSANCE L'histoire ne le dit pas RACE : Sirène TITRE OU PROFESSION :Éleveur d'hippogriffes, enfin, elle l'était. STATUT MATRIMONIAL :Célibataire FAMILLE : Sa seule vrai famille est morte. LIEU DE RÉSIDENCE : Elle n'a, pour le moment, pas de résidence. GROUPE : Menuin II. LE CHANT DES SIRÈNES Les histoires les plus surprenantes prennent souvent forme dans les endroits les plus incongrus. Et celle-ci ne fait pas exception à cette règle. :Une jeune femme était dans l’eau d’une petite rivière qui dégringolait le long du flanc d’une grande montagne. Ses cheveux flottaient au gré du vent qui soufflait sans s’arrêter. Le froid était mordant sur sa peau de porcelaine et un frisson parcouru son corps sans qu’elle ne puisse le retenir. Elle prit une bonne inspiration avant de se glisser toute entière dans cet oasis qui s’offrait enfin à elle. Elle se laissa porter un court instant par le flot continu du courant. Puis finalement, la jeune femme sortie la tête de l’eau. Elle se trouvait quelques mètres plus loin et se dépêcha à traverser la distance qui la séparait du rivage. Le courant était puissant et tumultueux, mais pas assez pour l’empêcher de remonter vers la berge où l’attendait un petit panier d’osier.
Elle le tira vers elle pour en démêler ce qui s’y trouvait, complètement empêtré dans les couvertures. Un petit gazouillis en sortie et la demoiselle ne put s’empêcher de sourire. Ce petit ange était bien à elle. Le fruit de son amour pour un homme qu’elle avait aimé du plus profond de son âme. Elle la prit délicatement dans ses bras et la trempa doucement dans l’eau glacé de la montagne. D’abord les pieds, puis le corps tout entier. Son cœur se serra à l’idée d’avoir dû attendre aussi longtemps pour trouver une source sure et sans danger pour y tremper le corps de son petit ange. Elle était parfaitement consciente que cela fut difficile pour elle, pour son cœur encore si jeune, mais elle n’avait point eu le choix. Comment aurait-elle pu en faire autrement ? Elle avait dû s’enfuir le plus rapidement possible afin de protéger son petit trésor. Mourir ne lui faisait pas peur, mais elle n’aurait pu supporter qu’on lui fasse du mal à elle. Une larme dégringola doucement sur sa joue. Elle aurait aimé être assez forte pour ne pas pleurer, mais elle n’y arrivait pas. Son monde venait à peine de s’écrouler. Elle ignorait qui l’avait rapporté à l’ordre, pourtant elle était certaine d’avoir fait attention. La jeune femme avait dû partir dès l’instant où elle avait su que ses jours et ceux de son bébé étaient comptés si elle ne quittait sa vie. Un nouveau sanglot resta coincé dans sa gorge lorsqu’elle réalisa que jamais plus elle ne reverrait l’homme de sa vie. Il n’avait pas toujours été gentil avec elle. L’idée qu’il possédait une famille, une femme, des enfants, la chagrinait, car elle savait qu’elle serait toujours deuxième et que le petit être qu’avait donné le fruit de leur amour ne serait à jamais qu’illégitime à ses yeux, mais elle aurait fait n’importe quoi pour lui. N’importe quel sacrifice. Elle prit sa fille dans ses bras et la serra tendrement contre son cœur. Son amour pour cette petite chose était inconditionnel. Encore plus puissant que celui qu’elle avait pour cet homme. Elle n’aurait jamais imaginé pouvoir aimer quelque chose à ce point.
La jeune femme resta encore un moment, sans bouger, son petit ange dans les bras, mais celle-ci se mit à bailler comme si elle voulait engloutir tous les fonds marins du monde. La demoiselle sourit à cette pensée, puis l’embrassa délicatement sur le front, avant de la déposer doucement dans son petit panier. Dès que sa tête se posa sur les couvertures l’enfant s’endormi, épuisé du voyage des derniers jours.
La jeune femme se tourna et s’accouda à la berge, le regard posé sur l’eau qui miroitait sous le soleil. Le courant la balançait doucement comme une douce berceuse et sans s’en rendre compte, elle s’endormi. Elle aussi était épuisée par le voyage et les émotions vécue depuis quelques jours.
Pendant ce temps, un homme se promenait dans ces mêmes montagnes. Un homme qui n’avait plus de nom, ni même d’honneur. Un homme qui n’était, au final, que l’ombre de ce qu’il avait autre fois été. Il parcourait à grandes enjambés le chemin, évitant au passage plusieurs grosses pierres qui trônaient ici et là sur la voie ainsi que quelques, plus rare, racines qui sortaient du sol irrégulier.
Pour une raison que seul le destin, ou les dieux, connaissaient, cet homme, celui-là même qui aurait pu, en fait non, qui aurait dû emprunter un autre chemin, un plus court, un plus direct, un moins dangereux, passa près de cette même rivière qui serpentait la montagne. À l’endroit même où se trouvait cette jeune femme endormie.
Il ne la remarqua pas immédiatement, trop concentré sur le chemin à parcourir, tout en pestant contre lui-même d’avoir pris le mauvais chemin à la fourche. Il avait la tête ailleurs depuis quelques jours et cela commençait sérieusement à lui peser.
Une goutte glacée tomba sur sa joue et il releva la tête pour constater que la pluie ne tarderait pas à déferler sur la montagne. Le nez au ciel, il ne remarqua pas une petite branche qui pointait vers lui et qui, quelques instants plus tard, lui fit perdre l’équilibre. Il battit des bras plusieurs fois avant de réussir à redevenir stable sur ses deux jambes.
C’est ainsi, que grâce à cette branche et cette perte d’équilibre momentané qu’il se retrouva fasse au spectacle de la belle endormie.
Donc nous voici au tournant de notre histoire. Mais avant de vous montrer la suite, chers amis, il faut d’abord et avant tout, vous expliquer qui est cet homme.
Mirden Skyclaw, le plus vieux fils d’un éleveur d’hippogriffes. Son père était éleveur, son grand-père était éleveur, son arrière-grand-père en était un aussi, et ainsi de suite. C’était un art qui se transmettait de génération en génération dans la famille depuis des siècles. Le plus vieux fils reprenait irrévocablement l’entreprise familiale. Malgré la fait que la ligné des Skyclaw n’était ni noble, ni puissante, elle était respecté et prospère. Les éleveurs d’hippogriffes étaient rares dans le royaume et les riches étaient prêts à payer une petite fortune pour en avoir à leur soirée. Les gens qui ont de l’or on une forte tendance à vouloir l’étaler.
Le seul problème, était que Mirden, lui, ne voulait pas devenir éleveur. Il ne voulait pas servir les riches de cette façon. Il ne voulait pas amuser leur soirée. Il ne voulait pas être un simple pantin. Alors, lorsque son père lui parla de reprendre l’affaire familiale, il refusa catégoriquement et partie. À l’époque, il était un rêveur. Il rêvait de gloire et de reconnaissance. Il rêvait d’aventures dangereuses et de grands combats. Il rêvait de devenir quelqu’un d’importe. Il rêvait que tous connaissent son nom et reconnaissent son courage. Il voulait prouver à tous que les Skyclaw n’étaient pas que les bonniches des riches.
Il s’engagea donc comme guerrier en tant qu’épée-louée. Il combattit avec bravoure dans plusieurs combats. Il fut blessé à de nombreuse reprise et se retrouva même avec une balafre énorme au visage. Sur un des champs de batailles, il rencontra un homme. Un seigneur. Les seigneurs ne combattaient jamais, ils laissaient leur guerrier aller au front pour eux. Mais pas lui. Il était différent. Il se souciait réellement des gens sous sa protection.
Un jour, lors d’un affrontement, Mirden sauva la vie de se seigneur d’une épée mal venu. C’est ainsi qu’un respect mutuelle se créa. Et de fil en aiguille une amitié. L’homme prêta allégeance à ce seigneur et devient un homme de sa garde. En parallèle, il découvrit aussi l’existence de l’ordre de l’aigle. Il mena une double vie pendant plusieurs années, s’engageant activement dans l’ordre. Il tua un grand nombre de sirène incroyable, autant pour l’argent, car leur sang valait cher, que la montée hiérarchique dans l’organisation.
Sa vie était faite d’aventure et il aimait ça. Il s’approchait de plus en plus de son objectif et cela lui plaisait. Son nom serait connu, il en était certain. Mais les dieux en décident parfois autrement, car le seigneur pour qui il avait prêté allégeance, décida de se battre contre l’ordre et décréta que toute personne prenant part de prêt ou de loin à celle-ci serait châtié sévèrement.
Notre jeune protagoniste, ignorait dans quel camp ce ranger et le destin s’en chargea pour lui. Il se fit prendre à vider à blanc une de ces créatures marines. On l’arrêta. Il fut jeté comme une ordure aux pieds du seigneur et celui-ci le regarda avec dédain. Une vie pour une vie avait-il dit. Il ne serait pas condamné à mort, mais il devait s’exiler.
Il partit. Le plus loin possible. Sans honneur. Sans nom. Sans reconnaissance. Il avait tout perdu. Tout. Il alla le plus loin possible, dans les montagnes et disparue pendant un temps.
Il réapparu sous un autre prénom. Mirden était devenue Broman. Skyclaw n’existait plus. Il reprit sa profession initiale, et devint éleveur d’hippogriffes. Même à l’époque, il était doué, alors il s’en sortie avec brio.
Un jour un homme lui demanda son nom. Il ne sut pas quoi répondre, alors il reprit la dernière chose qu’il avait entendu à son propos. On lui avait dit qu'il avait une poigne de fer. C’est ainsi que Broman Ironhand vu le jour.
Donc nous voilà de retour, l’homme regardant la magnifique sirène endormie se laissant bercer doucement par le courant. Il ne put s’empêcher de ressentir une énorme colère à la vue de cette créature insouciante. C’était à cause d’une femme comme elle qu’il avait tout perdu. Il sortit doucement une dague de son étui et s’approcha silencieusement. Il vouait une haine profonde à cette espèce, d’autant plus que leur sang valait de plus en plus cher sur le marché. ¸
Il vida l’énorme outre d’eau qu’il avait à sa ceinture puis il s’accroupie sur la berge, tout près de la sirène qui ignorait tout du danger. Il lui trancha la gorge nette. Sans remord. Sans regret. Le sang giclât. Elle n’eut même pas le temps de dire un mot. C’était fini avant même qu’elle ne puisse réaliser que l’heure de sa propre mort était venue. Il plaça son outre sous l’ouverture d’où s’écoulait le liquide rougeoyant, puis le récoltât goutte à goutte.
Il se releva et d’un coup de pied poussa le corps dans l’eau. Le courant s’occuperai de le faire disparaître. Il s’apprêtait à repartir, se disant que le lendemain il pourrait vendre ce qu’il venait de récolter au marché noir pour un petit magot lorsqu’un bruit. Un drôle de bruit vint percer le silence de la montagne. Il fronça les sourcils. Il chercha autour de lui, mais ne trouva pas la source de se son. Il se gratta la tête. Il devenait fou, voilà l’explication. Cela, ou bien il avait mangé un truc pourri et cela le faisait halluciner. Broman rangea sa dague dans sa ceinture et l’espèce de gazouillis reprit. Le son venait du petit panier à ses pieds. Il s’accroupit et entreprit de démêler le nombre incroyable de couverture. Une touffe de cheveux apparus, puis un visage et des petites mains. De si petites mains qu’elles pouvaient à peine tenir l’un de ses doigts.
Il sortit sa dague encore tâché du sang de la mère. Il ne pouvait pas la laisser ainsi, un animal finirait par le dévorer. Il s’apprêtait à abattre la lame lorsque son regard croisa celui de la petite chose. Ses yeux brillaient d’une lueur étrange. Il ne pourra jamais expliquer ce qui se passa à l’intérieur de son cœur à ce moment. Pour la première fois de sa vie, il ressenti de l’amour. Pour la première fois de sa vie il ressentait une chaleur dans son être. Il la prit dans ses bras et partie le plus rapidement possible. Il l’élèverait. Il s’occuperait d’elle et l’aimerait comme sa propre fille. Il la protégerait au péril de sa vie.
☸ Les bébés, Broman n’y connaissait strictement rien. Il n’a jamais eu d’épouse et n’en a jamais voulu, alors des enfants, aucune chance. D’autant plus qu’il n’aurait pas su quoi en faire, même avec une femme pour s’en occuper à la maison. Alors seul, dans les montagnes avec une gamine de moins d’à peine quelques mois… C’était une catastrophe. Par chance, il connaissait bien les sirènes. Il savait qu’elle devait être plongée dans l’eau régulièrement, surtout jeune, pour survivre. Pour le reste, il du piler sur son orgueil et faire appel à une dame qu’on appelait la sorcière. Il n’aurait jamais imaginé demander quoique ce soit à cette femme, mais personne d’autre n’aurait accepté de l’aider, alors il s’était résigné. Elle vint tous les jours pendant une semaine afin de lui montrer le nécessaire. Elle lui raconta qu’il y a fort longtemps, elle avait elle-même été mère, mais ils avaient tous été tué. Elle les pleurait encore. Au final, Broman aimait bien cette femme, mais il ne lui révéla pas le secret de sa fille. Il ne lui ferait jamais assez confiance. Il était bien placer pour savoir que le mal se cache partout et il ne laissera pas le mal s’insinuer dans la vie de sa fille. ☸ Petite, voilà comment il l’appelait. Au début, c’était suffisant, mais une fois en ville, lorsqu’on lui demandait son nom, il ne savait jamais quoi répondre, il bafouillait et changeait de sujet. Un jour il était dans le jardin et flattait le bec pointu de son plus puissant hippogriffe. Il la regardait, gazouiller en pointant le ciel de ses petites menottes. Au début il énumérait des noms à voix haute, mais rapidement, son esprit fut happé par des souvenirs. De vieux souvenirs qu’il avait enfoui au plus profond de sa mémoire. Il revit le visage d’une femme. La femme la plus magnifique qu’il avait vu de toute son existence. Elle se nommait Laelinne. Il sourit en repensant à cette demoiselle et ne douta pas que sa fille adoptive serait elle-même magnifique, il en décida ainsi, il l’appellerait Laelia Ironhand. Elle n’aurait peut-être pas d’un nom connu ou noble, mais il ferait tout pour qu’elle e soit fière. ☸ Deux ans c’était l’âge à laquelle elle commença à lui créer de réel problème. Laelia était curieuse, probablement trop curieuse. Elle aimait toucher à tout et elle arrivait par-il-ne-savait quel moyen à échapper à sa vigilance. Et pour être vigilant il l’était. Jamais il n’avait eu l’impression d’avoir des yeux tout autour de la tête, pourtant, elle continuait sans cesse de disparaître comme par magie. Un jour, il était allé au village chercher des vivres dont il avait besoin pour faire la nourriture de la petite. La sorcière lui avait expliqué qu’elle devait avoir une bonne alimentation s’il voulait qu’elle soit en santé. Comme il n’y connaissait rien, il suivait ses instructions à la lettre. Un jour, il était au marché et sans grande surprise elle échappa à son regard, mais cette fois-ci, elle tomba nez à nez avec des gens de l’ordre venu faire une démonstration. La petite, lorsqu’elle vu la sirène qu’on blessait, se mit à pleurer et pleurer. Elle voulut même aller sauver la pauvre chose qui s’agitait comme un forcené. Elle s’approcha du bassin et se fit menacer par les hommes. Un grande giclé d’eau l’arrosa de la tête aux pieds, c’est à ce moment que Broman arriva. Il crut que son cœur avait arrêté de battre, mais rien ne se passa. Il avait été tellement préoccupé par Laelia et les hommes de l’ordre qu’il n’avait même pas porté attention aux écailles de la pauvre fille. Elles étaient d’un bleu profond. Il fut rassuré, mais partie à la course vers la petite. Il s’excusa auprès des membres de l’ordre et partie le plus rapidement possible la petite dans les bras. Ce soir-là, pour la première fois de sa vie, il la mit en garde contre ses hommes et le danger qu’ils amènent avec eux. ☸ Laelia eut une enfance heureuse, même s'il manquait beaucoup de connaissance à son père. Elle ne fut pas élevée comme une jeune fille, comment aurait-il pu de toute façon ? La seule femme qu'il avait réellement connue, outre celles qui étaient passées un soir dans son lit, était sa mère. Il lui apprit tout ce qu'il crut nécessaire à son éducation. Il lui apprit à mettre dans pantalons aux lieux des robes. Il lui apprit à se battre, à se méfier et à chasser. Il lui enseigna toutes les connaissances qu'il avait sur les hippogriffes, la guerre, le combat, les seigneurs et l'ordre. Il la prépara à toute éventualité. Il avait peur qu'il lui arrive quelque chose. C'était viscéral comme peur. Pour la première fois de sa vie il tenait réellement à un chose, et il ne laisserait rien ni personne lui enlever. ☸ Malgré son éducation à la garçonne, Laelia apprit aussi les bases de celle des filles grâce à la sorcière. Elle n'avait peut-être jamais eu de fille, mais elle en était une elle-même. Alors elle lui enseigna la couture, l'art de faire à manger, comment tenir une maison et ainsi de suite. Elle lui apprit aussi, même si Broman avait ces connaissances, à lire et écrire à la perfection. L'homme savait le faire, mais n'avait pas la patience de le faire, surtout que la curiosité de Laelia était insatiable et qu'elle posait sans cesse des questions. ☸ La jeune fille grandie en apprenant le métier d'éleveur d'hippogriffes. Elle adorait cela. En fait elle adorait les animaux. Un jour, l'une des femelles eut une porter de petits. L'un deux, un petit mâle noir des pattes jusqu'au bec, ce faisait rejeter par la mère. Après quelques jours, il était faible, très faible. Si cela continuait ainsi, il mourait. Laelia le voyait dépérir à petit feu et elle était triste, très triste. Un jour Broman, lui demanda de s'asseoir. Il lui expliqua que ce sera à présent à elle de s'occuper de lui. De se lever dans la nuit pour le nourrir, de s'assurer qu'il soit toujours au chaud et lorsqu'il irait mieux, de l’élever. Alors dès cette conversation terminée, elle s'attela à la tâche. Après deux semaines, il était en pleine forme et plus le temps avançait, plus il devenait fort et majestueux. Le plus fort, le plus grand et le plus magnifique des hippogriffes de l'élevage. La jeune fille en était fière. Elle lui avait donné le nom Braise, comme celle d'un feu. Mais elle avait gagné bien plus que de la fierté, elle avait acquis l’indéfectible fidélité de l'animal. À jamais, elle serait sa maîtresse. ☸ Laelia ouvrait doucement les yeux, le soleil était encore bas dans le ciel. Elle devait aller nourrir les hippogriffes ce matin. Ce lever tôt ne lui dérangeait pas. Elle sortit des couvertures et lorsqu’elle bougea elle sentie quelque chose entre ses jambes. Un truc humide et désagréable. Elle regarda, un peu troublée, puis y découvrit du sang. Pourquoi elle saignait ? Comment cela se faisait-il qu’elle puisse saigner de là. Elle se recouvrit et appela Broman. Laelia lui expliqua et sur le coup, l’homme ne sut que faire, alors il lui intima l’ordre des rester dans le lit et partie le plus rapidement possible. Un peu plus tard, il revint avec la sorcière. La jeune fille lui expliqua la situation et celle-ci regarda Broman avec un sourire em lui intimant de partir, qu’elle prenait le relai. Elle rassura Laelia en l’informant qu’à présent elle était un femme, et qu’elle pouvait, à partir de ce jour, enfanter. ☸ Un jour, elle cherchait une vieille tunique dans l'une des nombreuses malle de son père. Elle tomba sur un insigne de l'ordre des aigles, elle le savait pour avoir croisé certaines personnes en portant sur leurs vêtements. Elle fronça les sourcils, qu'est-ce que son père faisait avec cela ? Curieuse elle continua de fouiller dans la malle puis trouva un uniforme, celui de l’ordre encore une fois. Elle se demandait de plus en plus pourquoi son père avait ce genre de chose. Alors lorsqu’elle l’entendit entrer, elle lui montra le vêtement et lui demanda des explications. Il blêmit, mais ne voulut pas lui mentir. Elle ne le méritait pas. Alors il lui raconta sa vie, toute sa vie, jusqu’à ce qu’il la trouve dans ce petit panier d’osier. La seule chose qu’il omit, pour la préserver, fut le fait qu’il avait lui-même tué sa mère. Sur le coup, la jeune femme ne sut comment réagir. Son père avait tué des dizaines et des dizaines de sirènes innocentes. Il avait tué des gens comme elle. Pour la première fois de sa vie, son monde s’écroula. Elle partit en colère avec Braise. Comment pouvait-elle avoir de l’amour pour quelqu’un comme cela ? Elle fut absente pendant trois jours et trois nuits. Broman se faisait un sang d’encre, mais qu’aurait-il pu faire ? Rien. Il ne pouvait qu’attendre. Lorsqu’elle revint enfin, elle lui avait pardonné. Elle ne pouvait pas effacer le passé, mais l’avenir n’était pas écrit et elle aimait son père. ☸ Laelia accompagnait souvent son père au village, cela lui permettait de voir des gens. Surtout, de voir des garçons, enfin, un garçon. Il avait quelques années de plus qu’elle, mais il était beau comme un dieu, sans oublier qu’il était gentil, très gentil avec elle. Broman l’avait mis en garde contre les garçons, mais celui-ci était différent, elle aurait pu le jurer. Il faisait très chaud cette journée là et cela faisait plusieurs fois qu’il l’invitait à aller se baigner. Elle refusait chaque fois, connaissant les règles de son père. Il lui avait intimé de ne jamais révéler sa vrai nature à qui que ce soit, sous aucun prétexte. Il lui avait dit que le danger était partout et que si elle ne faisait pas attention elle mourrait. La jeune femme se souvenait parfaitement de la première fois où elle avait vu les hommes de l’ordre tuer une sirène et cette seule image l’avait dissuadé de désobéir… ou au moins de le faire jusqu’à présent. Car elle avait réellement envie de faire confiance à ce garçon. Elle avait réellement envie qu’il la voit pour de vrai. Tel qu’elle est réellement. Elle était amoureuse de lui. Alors lorsqu’il lui demanda pour la centième fois de l’accompagner jusqu’à la petite étendu d’eau dans l’une des grottes au pied de la montagne, elle accepta. Il se mit nu le premier, puis sauta à l’eau. Il avait un corps magnifique et pour la première fois de sa vie elle sentie quelque chose se produire dans son bas ventre. Elle se déshabilla lentement, timide, puis fini par laisser tomber au sol le dernier morceau de vêtement. Elle voulait d’abord le prévenir, mais il ne lui en laissa pas le temps et l’agrippa pour la faire tomber en l’eau. Elle ne put retenir un cri. Au contact du doux liquide, son corps se transforma. Sa queue apparu et Le garçon s’éloigna d’un coup, une drôle de lumière dans les yeux, mais il ne dit rien. Ils se baignaient un instant en silence. Laelia ne savait pas trop comment réagir, elle finit par sortir de l’eau et se sécha. La jeune femme reprit rapidement forme humaine et le garçon sortie à son tour et la plaqua violement au sol. Elle eut mal. Elle grogna et lui demanda ce qu’il foutait. Il lui répondit un petit sourire sadique sur les lèvres qu’il avait toujours rêvé de la baiser. Elle essaya de le repousser mais il lui donna un coup au visage. Il lui expliqua qu’il allait la ramener à l’ordre et se faire de l’argent avec elle, mais qu’avant, il allait la baiser. De toute façon, à quoi bon avoir son consentement, puisqu’elle allait mourir de toute façon, il n’allait tout de même pas attendre qu’elle lui dise oui. La blonde se mit à crier très fort et à ce débattre comme une forcené, pour qu’elle arrête, il lui asséna un bon coup sur la tempe. Elle fut sonné et malgré qu’elle savait se défendre, sa tête tournait tellement qu’elle n’arrivait pratiquement plus à bouger. Sans plus attendre il la pénétra brusquement. Quelque chose tira entre ses jambes et une douleur vive se réveilla. Chaque fois qu’il bougeait, cela lui faisait mal. Des larmes coulaient sur ses joues. Pendant ce temps, Broman la cherchait. Il voulait rentrer mais ne la trouvait pas. Il demanda à quelques jeunes du village puis il eut finalement sa réponse, après quelques menaces évidement, sa fille était partie se baigner avec un garçon. En un éclair, il partit dans cette direction sans remercier son informateur. Il était maintenant mort de peur. Elle n’avait pas fait cela ? Il courut le plus vite qu’il put et lorsqu’il arriva, il eut une vision d’horreur. Sa fille à moitié dans les pommes en train de se faire pilonner de force par un homme. Une colère intense bouillonna dans ses veines et il agrippa le garçon avec force avant de le projeter sur le mur, un mètre plus loin. Il couvrit sa fille de sa veste puis la regarda dans les yeux en lui demandant s’il l’avait vu. Elle ne put qu’hocher la tête. Il la laissa seule un moment, sortie sa dague de sa poche et trancha net le cou du jeune homme. Il retourna voir Laelia puis l’embrassa sur le front avant de lui dire qu’il revenait. Il prit les vêtements du jeune homme et le rhabilla avant de le traîner hors de la grotte et l’abandonner plus loin dans la montagne, là où on ne retrouvera pas son corps avant qu’il ne soit à moitié dévoré. Il retourna auprès de sa fille et la ramena jusqu’à chez eux pour prendre soin d’elle. Ce jour-là, Laelia perdit plusieurs choses, d’abord sa virginité, ensuite son innocence et finalement sa confiance au reste du monde. ☸ C’était une journée comme les autres, surtout que la vie était plutôt tranquille depuis quelques temps, son père ne sortait pas beaucoup et au final, elle non plus. Elle s’occupait des bêtes, faisait à manger, s’occupait de l’entretient puis allait se coucher. Les jours se ressemblaient de plus en plus et cela l’ennuyait beaucoup. À un moment, quelqu’un cogna à la porte. Elle s’apprêtait à aller ouvrir lorsque Broman l’intima de rester éloigné, il alla voir, sans ouvrir qui cela pouvait bien être. Son visage, qui jusque-là était serein, se transforma radicalement. Il la regarda, de la panique dans les yeux et lui dit de sortir par la porte de derrière et de s’enfuir le plus rapidement possible. Pendant qu’il lui faisait un sac de voyage, elle s’obstina un peu avec lui, mais il était catégorique. Elle devait partir maintenant. Il la prit dans ses bras avant de lui donner sa dague, l’objet le plus précieux qu’il possédait. Son cœur se serra, elle avait un mauvais, un très mauvais pressentiment. S’il faisait cela, c’est qu’il savait que sa mort était proche. Elle fit tout de même comme il lui avait ordonné et sortit de la maison par l’arrière pendant qu’il ouvrait la porte de devant. Elle voulut aller libérer les hippogriffes, mais lorsqu’elle arriva ils étaient déjà morts égorgés. Elle fut pris de panique en pensant que Braise avait subi le même sort, mais elle ne le vit pas, alors elle partit s’enfoncer dans la forêt. Lorsqu’elle jugea être assez éloigné pour être en sécurité, elle se retourna enfin. Un feu brulait à l’endroit où sa maison se serait trouvé. Son cœur se brisa et une larme unique coula sur sa joue. Pour la quatrième fois de sa vie, son monde venait de s’écrouler. Mais cette fois, elle était plus forte, plus dangereuse et surtout plus hargneuse. La fillette joyeuse, naïve et innocente avait depuis longtemps fait place à une autre femme. Quelque chose vint lui frapper l’épaule et lorsqu’elle se retourna elle vu Braise. Du révère de la main, elle essaya sa larme puis lui toucha doucement le bec. « On est plus que toi et moi mon vieux. » Elle l’enfourcha rapidement puis partie sans se retourner. Elle n’avait aucune idée de sa destination, mais elle savait qu’il n’y avait plus rien pour elle à cet endroit. Son père était mort assassiné, la sorcière était morte de vieillesse quelques années plus tôt... Il ne lui restait au final que des souvenirs. . III. SOUS L’OCÉAN PSEUDO : réponse ici. PRÉNOM : Sarah ÂGE : 21 ans FRÉQUENCE DE CONNEXION : Souvent j'imagine COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? : Pertenariat sur aww VOTRE AVIS SUR CE DERNIER : Pour le moment il m'a l'air bien. PERSONNAGE : Inventé AVATAR : Gaia Weiss CREDITS : Pour le moment moi-même DERNIER MOT ? : J'ai hâte de commencer :mignon: Pour aider le staff : - Code:
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Laelia Ironhand
✧ Date d'inscription : 07/11/2016 ✧ Messages : 32
| Sujet: Re: Laelia ❧ Parfois le destin en décide autrement. (délai) Lun 7 Nov - 18:23 | |
| “ Il était une fois... ” Les histoires les plus surprenantes prennent souvent forme dans les endroits les plus incongrus. La suite.
Je regardais le village du haut d’une colline en bordure de celui-ci, le vent soufflait doucement dans mes cheveux les faisant danser à leur rythme. Je caressais distraitement le bec de Braise qui observait lui aussi la scène en contrebas. Cela faisait des jours que nous nous promenions, sans destinations précise. De toute façon, comment aurais-je pu en avoir une ? Je n’avais plus rien. Ni famille, ni but, ni destination. Un soupire s’échappa d’entre mes lèvres en repensant aux événements. Je ne pus m’empêcher de revoir les têtes coupées jonchant le sol maculé de sang. Je serai les poings. Si je pouvais, si je savais qu’ils étaient, je leur ferais la peau. Les massacrerais jusqu’au dernier. Mais j’ignorais qui ils étaient. Broman ne m’en avait rien dit et maintenant, je n’avais plus rien. Je voyais encore les flammes s’élever au travers des arbres dansant sous mes yeux comme une vicieuse ennemie emportant avec elle un énorme pan de mon existence.
Je fermai les yeux un instant, un très court instant, afin de chasser une énième fois ses souvenirs de mon esprit. J’avais beau me dire que je passerai au travers, comme j’ai passé au travers du reste, habituellement je n’étais pas seule pour les affronter… Enfin, pas totalement. Je détournais le regard pour les poser sur l’imposante bête à mes côtés. Au moins je l’avais encore lui. Fidèle ami, depuis ma plus tendre enfance. Je l’avais nourris et éduquer jusqu’à ce qu’il devienne le plus puissant du groupe. Et le plus majestueux à mes yeux. Il avait été l’avorton de la porter, celui dont même sa mère ne voulait pas et pourtant, aujourd’hui il était l’une de mes plus grandes fiertés. Il avait accompli l’impossible et encore plus magnifique, il avait survécu. Survécu à son destin. Un peu comme moi. J’avais fait pour Braise ce que Broman avait fait pour moi. C’est-à-dire tout pour le garder en vie et le faire grandir pour qu’il puisse prendre son envol. Je passai ma main une dernière fois sur l’encolure de mon ami, avant de lui intimer l’ordre de rester éloigné de la ville. Je n’aimais pas les endroits trop bondé. J’évitais le plus souvent de m’y rendre. De toute façon, je savais parfaitement me débrouiller dans la nature, mais parfois, certaines situations l’obligeaient. D’autant plus que j’avais dû vendre de la viande dans un village voisin pour me faire un peu d’argent. Je suivais les règles qu’on m’avait apprises : Ce méfié de tout et de tout le monde. Surtout de tout le monde. À une époque, je n’y aurais même pas réfléchie, mais on apprend parfois à la dure certaine leçon et celle-ci sera gravée à jamais dans mon esprit. Je revoyais encore son regard, cette espèce de haine mêlé à du dégoût. Comme si je n’étais pas une créature digne de respect. Comme si j’étais une sous merde qui ne servait qu’à ce faire de l’or. J’aurais tellement aimé pouvoir me défendre. J’aurais aimé pouvoir lui coupé la gorge moi-même. Mais j’ai été faible et plus jamais cela ne se reproduira.
Je m’engageai sur la pente descendante menant à ma destination. Le vent continuait de souffler, mais le soleil c’était levé haut dans le ciel. Se serai une chaude journée aujourd’hui, étouffante même. Ce n’était pas un si petit village, mais il n’y avait pas beaucoup de grande rue. Trouver le chemin menant au marché fut donc assez facile. Je me dirigeais vers celui-ci rapidement. Une goutte de sueur perla sur mon front. Je n’aimais pas particulièrement cette température oppressante, mais je la préférais encore à une grosse averse. Je détestais sincèrement les averses soudaines. Elle rendait les choses beaucoup plus compliqué qu’elles ne l’étaient déjà. Je fini par arrivé au marché, mais il était presque vide. Au loin, je voyais un attroupement de gens, probablement sur la grande place. Je fronçai les sourcils avant d’accoster un homme qui passait près de moi pour aller, me semblait-il, rejoindre la foule déjà entassé. « Excusez-moi monsieur, mais que ce passe-t-il ? » Il me répondit, essoufflé en m’expliquant que des hommes étaient présents, des purificateurs, avec une créature dans un cercueil de verre. Un frisson traversa ma colonne. De l’effroi. Je savais exactement qui ils étaient. Je les avais déjà vu faire et je savais parfaitement la suite des choses, mais sans savoir pourquoi mes pieds continuaient d’avancer. Comme pour me confirmer qu’au final le monde dans lequel je vivais était pourri jusqu’à la moelle. La cruauté des hommes n’avaient d’égal que leur ambition du pouvoir.
Sans savoir comment, je me retrouvai au premier rang. Je la voyais s’agiter comme une forcenée dans sa petite prison. Les hommes de l’ordre, que j’avais reconnu grâce à l’enseignement de Broman, parlaient, mais je n’arrivais pas à les écouter. La seule chose que je voyais c’était ses yeux à elle. La détresse qu’on pouvait y lire me martelait le cœur comme un million de dards empoisonnés qui s’y enfoncerait. J’étais là, impuissante, à la regarde. À regarder se spectacle morbide qu’allait être sa mort. Ses yeux croisèrent les miens pendant un instant, un bref instant, mais cela fut suffisant pour qu'elle comprenne. J’aurais aimé détourner les yeux, mais cela aurait été lâche. Autant pour moi que pour elle. Je ne pouvais pas la sauver, mais je ne pouvais pas non plus l’abandonner. En tout cas pas totalement.
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Lyara Blackwater there's a light yet to be found.
✧ Date d'inscription : 27/06/2016 ✧ Messages : 703 ✧ Localisation : Isandiel ✧ Ordre des Aigles : elle les déteste cordialement.
| Sujet: Re: Laelia ❧ Parfois le destin en décide autrement. (délai) Lun 7 Nov - 18:37 | |
| Bienvenue officiellement ;) |
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| Sujet: Re: Laelia ❧ Parfois le destin en décide autrement. (délai) Lun 7 Nov - 18:43 | |
| Bienvenue officiellement et bon courage pour la rédaction. |
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| Sujet: Re: Laelia ❧ Parfois le destin en décide autrement. (délai) Lun 7 Nov - 18:54 | |
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Daryün Nosgard their blood on my hands
✧ Date d'inscription : 29/07/2016 ✧ Messages : 707 ✧ Localisation : Naviguant sur les mers, il jette l'ancre le plus souvent à Isandiel et à Mirilith. ✧ Ordre des Aigles : Capitaine du Souverain, Général gradé à la tête d'un équipage important de pêcheurs
| Sujet: Re: Laelia ❧ Parfois le destin en décide autrement. (délai) Lun 7 Nov - 19:28 | |
| Bienvenue ! Bon courage pour ta fiche et si tu as une question, n'hésite pas à mpotter le staff |
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Laelia Ironhand
✧ Date d'inscription : 07/11/2016 ✧ Messages : 32
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| Sujet: Re: Laelia ❧ Parfois le destin en décide autrement. (délai) Lun 7 Nov - 20:46 | |
| bienvenue parmi nous jolie blonde :AH: et bon courage pour la rédaction de ta fiche
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| Sujet: Re: Laelia ❧ Parfois le destin en décide autrement. (délai) Mer 9 Nov - 15:18 | |
| Bienvenue Gaia Weiss est super choupie dans Vikings j'ai hâte de voir le personnage du coup :mignon: |
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Laelia Ironhand
✧ Date d'inscription : 07/11/2016 ✧ Messages : 32
| Sujet: Re: Laelia ❧ Parfois le destin en décide autrement. (délai) Jeu 10 Nov - 10:08 | |
| Merci à vous ! Vous êtes super accueillant et tout et tout! Je m'active pour ma fiche j'ai hâte de commencer |
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| Sujet: Re: Laelia ❧ Parfois le destin en décide autrement. (délai) Jeu 10 Nov - 12:26 | |
| Bienvenue officiellement Si tu préfères toujours Freya maintenant tu peux l'avoir |
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| Sujet: Re: Laelia ❧ Parfois le destin en décide autrement. (délai) Jeu 10 Nov - 23:30 | |
| Bienvenue officiellement parmi nous Bonne rédaction de fiche, il me tarde d'en savoir plus sur ton personnage |
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Laelia Ironhand
✧ Date d'inscription : 07/11/2016 ✧ Messages : 32
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| Sujet: Re: Laelia ❧ Parfois le destin en décide autrement. (délai) Lun 14 Nov - 23:31 | |
| bienvenue à toi et bonne chance pour l'écriture de ta fiche ! *^* je plussoie également ce choix de vava ! :mignon: |
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Laelia Ironhand
✧ Date d'inscription : 07/11/2016 ✧ Messages : 32
| Sujet: Re: Laelia ❧ Parfois le destin en décide autrement. (délai) Mar 15 Nov - 0:25 | |
| Merci :mignon: me reste que la partie anecdotique à faire l'histoire est officiellement terminé |
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| Sujet: Re: Laelia ❧ Parfois le destin en décide autrement. (délai) Jeu 17 Nov - 1:03 | |
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| Sujet: Re: Laelia ❧ Parfois le destin en décide autrement. (délai) Ven 18 Nov - 16:36 | |
| Bienvenue à toi (un peu en retard) Très bon choix d'avatar Bon courage à toi et à bientôt |
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| Sujet: Re: Laelia ❧ Parfois le destin en décide autrement. (délai) Lun 21 Nov - 2:02 | |
| “ TU ES VALIDÉ ” félicitations tu fais parti de l'aventure ! t'as modifié ton histoire, c'est parfait :whaa: attention néanmoins aux petites fautes qui restent ici et là, n'oublies pas d'utiliser un correcteur, ou de te relire, pour les éviter en tout cas j'aime beaucoup lae, et braise :snifff:, et tu es maintenant officiellement dans le rang des sirènes d'eau douce have fun :mignon:Tu peux donc désormais te promener librement sur le forum, tel un voyageur en quête d'aventures toujours plus palpitantes les unes que les autres ! Si tu as soif de RPs et de nouvelles rencontres, nous te conseillons d'ouvrir ta fiche de liens, histoire de pouvoir papoter lien avec les autre membres validés du forum. Nous t'encourageons à venir flooder dans la partie faite pour (ici on aime bien les gens bavards ) et également à participer à la vie de la CB (il y aura toujours quelqu'un pour t'accueillir dignement ). Mais attention à ne jamais négliger la partie jeu BON JEU ET BONNE AVENTURE SUR BATB ! |
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| Sujet: Re: Laelia ❧ Parfois le destin en décide autrement. (délai) | |
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| | | | Laelia ❧ Parfois le destin en décide autrement. (délai) | |
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